Les «drogues» juridiques que nous prenons aujourd'hui, à la fois en vente libre et des médicaments sur ordonnance, Sont responsables d'au moins 100 000 décès par an aux seuls États-Unis. Comme de nombreux rapports l'ont indiqué, la plupart des recherches publiées sur ces médicaments sont complètement fausses; Les résultats sont manipulés afin d'obtenir des produits sur le marché aussi rapidement que possible, plutôt que pour assurer leur sécurité.
Nous sommes maintenant plus d'une décennie où l'article le plus largement consulté dans l'histoire de la Bibliothèque Publique des Sciences (PLoS) a été publié - une critique mordante de la fraude médicale - et le problème n'a fait qu'empirer. Les professionnels de la santé risquent encore leur emploi et leur réputation pour faire passer le message et sensibiliser le public. Le docteur Richard Horton, le rédacteur en chef actuel de The Lancet est juste un exemple éminent: [19459128]
L'affaire contre la science est simple: une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, peut simplement être fausse. Affectés par des études avec de petites tailles d'échantillon, des effets minuscules, des analyses exploratoires invalides et des conflits d'intérêts flagrants, ainsi qu'une obsession pour la poursuite des tendances à la mode d'une importance douteuse, la science a pris un tournant vers l'obscurité .
C'est tout à fait préoccupant, en particulier étant donné le fait que la plupart des diplômés sortant de l'école de médecine d'aujourd'hui sont éduqués largement sur les médicaments sur ordonnance. Cette éducation, cependant, est basée sur des recherches faussées, biaises et / ou purement falsifiées. Ils sont soignés pour l'établissement médical par ceux qui profitent le plus, et ce n'est pas les consommateurs. Malheureusement, de nombreux médecins restent totalement inconscients des problèmes systémiques graves qui affligent leur profession.
Dr. Peter Gotzche, cofondateur de la Cochrane Collaboration (la plus importante instance mondiale d'évaluation des preuves médicales), a publié un article l'an dernier dans The Lancet [1945910]qui défendait l'utilisation d'antidépresseurs et expliquait leurs dangers.
"Il est remarquable que personne ne soulève un sourcil quand nous tuons tant de nos propres citoyens avec des drogues."Ces décès peuvent être difficiles à mesurer et faire rapport, cependant, parce que Ils ne se produisent pas instantanément; Ils sont le résultat d'une utilisation prolongée sur une période prolongée.
Les deux domaines principaux de Gotzche sont les antidépresseurs et les analgésiques «anti-inflammatoires non stéroïdiens» comme l'ibuprofène, le tylénol, le célécoxib et le diclofénac. Un autre est Vioxx, qui a été réellement retiré après qu'il a été découvert qu'il avait causé plus de 100.000 cas de maladie cardiaque grave aux États-Unis pendant les cinq années qu'il était sur le marché.
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