Selon les chercheurs, la modification de la forme de IRAK-M, une protéine qui contrôle l'inflammation, peut réduire significativement la progression clinique des deux maladies dans les modèles pré-cliniques animaux.
Les résultats sont apparus dans la revue eBioMedicine.
"Lorsque nous avons testé des souris avec la protéine IRAK-M altérée, ils avaient moins d'inflammation globale et remarquablement moins de cancer", a déclaré Coy Allen du Collège Virginia-Maryland de médecine vétérinaire.
La prochaine étape, at-il dit, sera d'évaluer ces résultats chez les patients humains grâce à des collaborations en cours avec Carilion Clinic et l'Université de Duke
.La protéine altérée provoque le système immunitaire à devenir suralimenté, en évacuant les bactéries avant qu'ils puissent faire des dommages.
Il existe un lien intime entre l'inflammation incontrôlée dans l'intestin associée à une maladie inflammatoire de l'intestin et le développement éventuel du cancer du côlon
."Du point de vue d'un scientifique, c'est de cela qu'il s'agit, et nous espérons que nos résultats fournissent une bonne avenue pour le développement de futures thérapies pour traiter des maladies comme la maladie inflammatoire de l'intestin et le cancer du côlon", ont conclu les auteurs. ]
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